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dupreeh révèle que ses plus grands revenus proviennent des autocollants CS:GO

Actualités
nov 07
21 vues 4 minutes lire

Le quintuple champion Major et légende danoise de CS, Peter “dupreeh” Rasmussen, a révélé quel tournoi lui avait rapporté les plus grands revenus de toute sa carrière. Selon le joueur, ce ne sont pas les salaires, mais les autocollants qui lui ont généré des bénéfices record — un véritable symbole du dernier Major de l’histoire de CS:GO.

Les années dorées d’Astralis et le sommet financier

Dans une interview accordée à Esports News UK, le Danois est revenu sur l’ère dorée d’Astralis, lorsque l’équipe a dominé la scène entre 2018 et 2020, remportant quatre Majors et créant l’une des périodes les plus réussies de l’histoire de Counter-Strike.
dupreeh a expliqué que pendant cette période, il percevait son salaire le plus élevé — environ 30 000 € par mois, soit près de 360 000 € par an — mais il a souligné que même ces montants n’étaient rien comparés à ce que les autocollants lui ont rapporté.

Point principal : les autocollants comme principale source de revenus

Selon le joueur, ses plus grands gains sont venus après le BLAST Paris Major 2023, qui fut le dernier tournoi de l’histoire de CS:GO. Son équipe, Vitality, a remporté le titre de champion, et les autocollants autographes des joueurs sont devenus les objets les plus populaires de la communauté Steam.

Les autocollants du BLAST Paris Major m’ont rapporté plus d’argent que tout le reste de ma carrière. C’était le dernier Major de CS:GO, et les fans les achetaient en masse — probablement à cause de l’émotion liée à la fin d’une époque.

Le Danois a noté que les revenus liés aux autocollants varient énormément d’un tournoi à l’autre — cela dépend de la popularité de l’équipe, de la région, et même des performances des joueurs sur scène.
Le Paris Major a été exceptionnel : c’était la dernière opportunité pour les fans d’acheter un “morceau de mémoire de CS:GO”, transformant les autocollants en une sorte d’artéfact numérique.

Contexte : la nouvelle réalité de CS2 et l’héritage de l’ancienne ère

Depuis la transition vers Counter-Strike 2, le modèle économique du jeu est resté en grande partie le même — les autocollants demeurent une source de revenus essentielle pour les joueurs professionnels.
Cependant, comme l’a souligné dupreeh, aucun événement CS2 n’a encore égalé l’engouement suscité par les autocollants du BLAST Paris Major.
Il a ajouté que la valeur émotionnelle du dernier tournoi CS:GO dépassait même les gains financiers :

 Nous savions que c’était la fin d’une époque. Et gagner le dernier Major sur l’ancien jeu — c’était quelque chose de vraiment spécial.

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L’héritage de dupreeh et le phénomène des autocollants

Peter Rasmussen reste le joueur le plus titré de l’histoire des Majors — cinq trophées et des dizaines de millions de fans à travers le monde.
Son histoire illustre comment les autocollants ont évolué, passant de simples éléments cosmétiques à un pilier économique majeur de l’esport, influençant non seulement les revenus des joueurs mais aussi leur carrière après la compétition.

L’histoire de dupreeh

Cette histoire ne parle pas seulement de titres et de victoires, mais de la manière dont l’amour des fans peut se transformer en véritables revenus.
Le BLAST Paris Major est devenu le symbole de la fin de l’ère CS:GO, et ses autocollants — une forme de “héritage numérique”, représentant toutes ces années où Counter-Strike a bâti une culture entière au sein de l’esport.

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